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Business : Voici l’ivoirien qui a sauvé la 2eme plus grosse banque de Suisse !

Quand l’Ivoirien Tidjane Tchiam arrivait en juillet passée comme Directeur Général du Crédit suisse, cette prestigieuse institution fonçait tout droit vers la faillite. L’Ivoirien avait pour mission principale de stopper l’hémorragie afin d’éviter le pire. Après quelques mois seulement, le bilan est plus que positif ! Tidjane Tchiam a trouvé le remède miracle…

L’année 2016 était une fois de plus celle de l’Ivoirien Tidjane Tchiam Wanda Peeps ! Le banquier qui est devenu l’année passée l’Africain le plus influent du monde vient de remporter le premier round d’un combat sauvage dans la restructuration de la 2e plus grosse Banque de Suisse.

Arrivé à la tête du Crédit Suisse pour limiter la casse causée par ses prédécesseurs, l’Africain s’en est plutôt bien sorti en quelques mois. Tout d’abord, le crédit suisse a enfin réglé son plus gros problème. Un litige avec le Département américain de la justice lié aux prêts hypothécaires à haut risque commercialisés entre 2005 et 2007 aux États-Unis, et à l’origine de la crise financière mondiale de 2008. Plus de peur que de mal…

Cependant, ce qui surprend le plus c’est que malgré l’amende-record infligée à la Banque que dirige l’Ivoirien, rien ne semble inquiéter les marchés boursiers. L’amende s’élève à 5,3 milliards de dollars, soit environ plus de 2 500 milliards de Francs CFA sans compter les dédommagements aux clients lésés. Une ardoise record a payé en 5 ans…

En principe, cette situation devrait faire fuir les investisseurs, pourtant ceux-ci sont imperturbables ! L’action de Credit Suisse n’a pas dégringolé en bourse. Preuve que les investisseurs misent toujours sur le talent de son directeur général, Tidjane Thiam, pour redresser la barre à plus ou moins long terme. Une confiance totale !

En effet, le talent et le pragmatisme de l’Ivoirien séduisent même le plus sceptique de la finance. Pour sauver les meubles et limiter les pertes de la banque, il a procédé à la réduction des coûts et à la suppression de 6 050 postes en 2016 ! Un véritable un remède de cheval pour sauver la deuxième banque du pays. Il vient de promettre enfin aux investisseurs le retour des bénéfices dans un avenir proche. Bravo à cet Africain qui fait la fierté du continent.

S.N.B

 

 

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