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jeudi, mars 28, 2024

Ça chauffe !

Wandayant : Une togolaise admise dans 7 prestigieuses universités américaines !

C’est ce qu’on appelle être surdouée Wanda Peeps !  Une jeune togolaise de 17 ans vient de battre un record aux États Unis. Elle est admise en même temps dans les 7 plus prestigieuses universités du pays ! La go à désormais l’embarras du choix…

Son nom a fait le tour des médias aux Etats Unis Wanda People. Priscilla Samey est la nouvelle star de l’État du Minnesota ! La jeune togolaise de 17 ans a en effet réussi l’exploit d’être sélectionnée par les sept plus prestigieuses universités américaines ! Un exploit !

A en croire son entourage, elle doit surtout son succès à la témérité de son père qui malgré son Doctorat a accepté  un poste d’agent de sécurité au Canada pour assurer l’éducation de sa fille. « Il est ma source de motivation », confie la jeune togolaise déjà conférencière à son jeune âge et qui aujourd’hui n’a d’autre rêve que celui d’étudier le droit et devenir avocate !

Depuis l’annonce de son résultat, la jeune fille est débordée par l’émotion tant elle ne cesse de recevoir des messages. Elle a tenu à témoigner : « C’était incroyable ! Je n’arrive pas à réaliser l’ampleur de l’exploit. Je suis l’une de ces personnes souvent indifférentes quand elles voient les gens célébrer leur acceptation dans une université. Mais cette fois-ci, c’était plus fort que moi. J’en ai eu les larmes aux yeux. » Maama, félicitations oh !

Pour la petite histoire, la jeune togolaise a un parcours de génie début son plus jeune âge. « J’ai lu l’Odyssée à 12 ans, Catcher dans le Rye et Oliver Twist à 13 ans et, à ce jour, je tiens le record de lecture rapide dans mon école quand j’étais au cours élémentaire. Mais ce n’est que quelques années plus tard que j’ai commencé à comprendre ce que mon père traversait. » Son papa a le sourire jusqu’aux oreilles aujourd’hui !

Elle poursuit : « Mon histoire est marquée par un triomphe face à l’adversité, mais celle de mon père par un travail acharné et une force inouïe face à une constante défaite. Tout comme moi, mon père a été confronté à des barrières linguistiques, mais sa lutte a encore été aggravée par la discrimination. Alors que j’avais le privilège d’un accent américain, mon père ne l’avait pas fait. »

Aujourd’hui elle n’a plus que deux problèmes, faire le choix de sa future université et trouver de l’argent pour payer les autres frais liés à sa scolarité, notamment les livres. Félicitations à cette brave petite fille africaine !

S.N.B

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