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Jerôme Munyangi, le chercheur derrière le protocole guérisseur du Covid-19, menacé par l’OMS

Wanda Peeps, ce sont des révélations glaçantes que vient de faire Jérôme Munyangi, le chercheur congolais qui a trouvé la combinaison anti-coronavirus par la plante Artémisia. Interviewé récemment par une chaîne de télévision, le médecin à confié être menacé par l’OMS, au point d’avoir à plusieurs reprises échappé à la mort.

En janvier 2019, après le documentaire « Malaria Business » qui traitait du business et la guerre des laboratoires contre la médecine naturelle, le Dr. Jérôme Munyangi voit sa vie basculer.

Le chercheur fait en effet une déclaration choc dans ce documentaire :  il affirme qu’une étude sur 1 000 patients avait prouvé que les tisanes d’Artemisia étaient plus efficaces que les médicaments conventionnels contre le paludisme, les ACT (combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine), recommandés par l’OMS.

Dès lors, la vie du Docteur est plus que jamais en danger. Il reçoit ses premières menaces, dit-il, de la part de l’Organisation Mondiale de la Santé. Et c’est dans une interview qu’il raconte comment OMS a tenté d’empêcher la vulgarisation de ses traitements :

« L’OMS est formelle sur mes publications… l’OMS ne veut pas la vulgarisation de mes traitements et avance deux raisons : la première est que l’organisme prétend que la personne qui prend de l’Artemisia peut développer une résistance à l’Artemisinine (une composante de l’Artemisia). Ce qui est faux. L’OMS n’a aucune référence bibliographique en la matière. Nous avons montré à l’OMS que ce n’était pas vrai… l’Artemisinine n’est qu’un des principes actifs de l’Artemisia.

Le deuxième arguments avancé par l’OMS, dit le Dr Jérôme Munyangi, est que son traitement n’est pas standardisé… Or l’organisme, au lieu de demander de faire juste des recherches supplémentaires, a demandé tout bonnement de les arrêter.

L’Académie de médecine française s’en est ensuite pris au médecin congolais en faisant un communiqué publié dans le Figaro ou encore le journal Le Monde. Dans cet article, l’Académie discrimine les recherches du médecin en affirmant que son traitement a été « fait dans un petit village d’Afrique, que ça n’a pas de valeur scientifique, et demande aux ministres de Santé africains de ne pas appliquer ses résultats de recherche ».

Et, comme presqu’à chaque fois qu’un médecin déclare médiatiquement avoir découvert un remède à une maladie (On a encore en mémoire le triste souvenir de la mort du Ghanéen Nanan Koffi Drobo II, qui disait qu’il avait trouvé un remède contre le SIDA), le Dr. Jérôme Munyangi s’est vu menacé physiquement.

À peine un mois après ses déclarations choc, alors qu’il revenait d’une session de l’Union africaine à laquelle il a participé en tant que chercheur les 26,27 et 28 février 2019, Dr Jérome Munyangi est arrêté à Kinshasa. Il subit deux jours de garde à vue « sans savoir les motifs de son arrestation ». Dans l’interview que vous pouvez découvrir plus bas, il racontera qu’il a été torturé :

« J’ai été fouetté, frappé avec des crosses de fusil par mes gardiens et mes avocats ont été chassés par la force.»

Environ un mois plus tard, il est de nouveau arrêté, le 16 mars. Mais le colonel Pierrot Mwanamputu, porte-parole de la police nationale, expliquera à Jeune Afrique que « le registre d’écrou du sous-commissariat le plus proche de son hôtel ne mentionne rien sur cette affaire à cette date ». Grâce à l’intervention de Paul Nsapu, secrétaire général de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH), Jérome Munyangi parviendra à fuir son pays.

En juin 2019, c’est en France qu’il trouvera asile grâce au soutien de l’association La maison de l’Artemisia, avec laquelle il collabore depuis 2016, après s’être réfugié un moment en Centrafrique. La Maison de l’Artemisia, une association humanitaire française de lutte contre le paludisme par les plantes Artemisia annua et afra, possède des représentations dans plusieurs pays africains. Et c’est Madagascar qui sollicitera finalement le Dr Jérome Munyangi pour mettre au point son protocole Covid-artémisia. Chose qu’il a faite. 

Aujourd’hui, Dr Jérôme Munyangi est connu comme le chercheur à l’origine du « remède traditionnel amélioré » à base d’artemisia dévoilé par le président malgache Andry Rajoelina. Le scientifique RD Congolais a trouvé et rédigé le protocole qu’il a baptisé « Covid-Artemisia » qui a permis l’élaboration du Covid-Organics, a-t-il révélé dans l’interview. Et si à Madagascar, cette solution est désormais produite à grande échelle et même exportée en Afrique, L’OMS se refuse toujours à valider les résultats de recherche du génial médecin congolais.

La morale à retenir, valorisons nos talents et nos cerveaux qui se battent pour ce qu’il y a de mieux pour le continent. Demandons-nous toujours à qui sert certaines paroles étrangères. Ne vendons pas les nôtres !

Son interview complète à découvrir plus bas.

C.B.

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