Wanda People, ce sont des révélations fracassantes auxquelles s’est prêtée Maria Carey dans son autobiographie. La célèbre chanteuse affirme que sa sœur a essayé de la vendre à un proxénète.
Maria Carey s’est avérée plus cash que jamais dans son livre autobiographique « The meaning of Mariah Carey ». La chanteuse qui avait annoncé qu’elle s’y livrerait sans langue de bois faisait la promotion de son œuvre il y a quelques jours lors de son passage dans The Oprah conversation. Et le moins que l’on puisse dire c’est que la go ne fait pas dans les sentiments.
En effet, ainsi que le relaye ET Online, Maria Carey a raconté comment sa sœur a tenté de la vendre à un proxénète.
« Quand j’avais 12 ans, ma sœur (Allison) m’a droguée avec du valium, m’a présenté un ongle rose plein de cocaïne, m’a brûlée au troisième degré et a essayé de me vendre à un proxénète », a lu Oprah Winfrey sur le plateau, sous l’approbation de la chanteuse.
Mariah Carey ajoute que sa sœur était « perturbée et traumatisée » et affirme également dans son livre que son frère, Morgan, était « extrêmement violent ». Selon elle, ces comportements étaient dus à leur enfance différente de la sienne. Son ex-frère et son ex-sœur, comme elle les appelle, ont respectivement dix et sept ans de plus qu’elle et auraient vendu de nombreuses histoires à son sujet aux tabloïds. Quant à sa relation avec sa mère, qu’elle appelle par son prénom (Patricia), la chanteuse les juge « toujours compliquées ».
Et Maria Carey de dire :
« J’ai essayé d’être juste (en écrivant ses mémoires). (…) Quand vous réussissez, vous devenez une cible, vous devenez vulnérable. Mais je n’en serais pas arrivée là si on ne m’avait pas fait toutes ces choses, si je n’avais pas été traînée dans la boue, si je n’avais pas été traitée par certaines personnes comme un distributeur de billets avec une perruque sur la tête », a déclaré Mariah Carey.
Wanda People, la famille ne nous veut pas toujours du bien hélas. Maria Carey l’aura compris à ses dépens. Son passage chez Oprah Winfrey à regarder plus bas.
C.B.
